Il est trop rare de rencontrer des groupes qui ont créé leur propre univers pour bouder son plaisir. Si le second album (Walking with the three) avait montré de vraies dispositions, celui-ci enfonce encore plus le clou. En cherchant à quoi diable tout ça pouvait me faire penser, la réponse m’est parue évidente : c’est le Wire des années 2000. Cette même façon d’imposer à nos oreilles une pop expérimentale (oui, c’est possible), ces mêmes atmosphères froides, on est vraismblablement dans les mêmes eaux que (...)