Ca m’a donné envie d’écouter.
Et je n’ai pas aimé !
J’aurais voulu pourtant, parce que l’audace, l’excès et le baroque m’attirent.
Mais, là, je trouve l’excès stérile...
Comme je le disais hier ailleurs à propos du également très controversé Shearwater, le phénomène de la lame du rasoir est redoutable. Quand ça reste dessus, c’est le Nirvana. Quand ça s’effondre de l’autre côté, c’est Mordor. On est aux anges ou aux démons !
Et je sais à quel point cela peut parfois dépendre d’un zeste qu’on soit sanctifié ou diabolisé (l’humeur de la première écoute, notamment).
Donc, respect pour ceux qui aiment.
Mais (...)