mercredi 23 août 2006, par
Voilà, je ne connais que très peu ce monsieur Jones. Avant l’écoute de ce disque, je me limitais à le reconnaître à ces jolis couvre-chefs et à apprécier ces démonstrations de vélocité la guitare à la main dans les émissions de Guillaume Durant. Et c’est donc accompagné de ces a- priori, que j’introduisis innocemment cet album Best of dans ma platine…
Je ne ferai pas trop long donc, grosso modo, après le moumou Rhythm Is Love, on trouve enfin le funk recherché et la guitare en folie sur Millions miles from home. Ensuite viendrons des morceaux plus jazzy (Neptune, Invisible ladder), funky (April again, Kpafuca, our lady soul, Solitary) et d’autres balades (Don’t forget). Tout est loin d’être bon, et manque peps, de brillant pour qu’on n’en redemande vraiment : Ce n’est pas sur ce DC que vous repasserez 6 fois la même plage de suite.
Conseil d’utilisation : En musique de fond pour une soirée en amoureux. (F.)
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