Et si, la véritable découverte et la véritable alchimie de cet album, c’était cette démonstration : l’évolution ultérieure et ultime de 65days devrait être d’avoir un chanteur à demeure. Non, pas nécessairement celui de The Cure (qu’il faut laisser à ses fans grabataires ; mais, oui, je charrie, je n’en pense pas un mot). En s’éloignant du post rock, 65days a favorisé une scansion électronique surpuissante. A beaucoup d’endroits, il a perdu les lignes mélodiques si caractéristiques. Sur la longueur, c’est même parfois lassant. A l’opposé, sur "Come to Me", c’est exactement ce que fait la (…)