Post-néo-néoromantisme
Si, à la base, j’ai tardé à parler de ce disque renversant, c’est pour deux raisons bien distinctes : la première étant mon scepticisme prolongé vis-à-vis d’un groupe dont le précédent effort avait suscité un intérêt disproportionné, et la seconde, la conviction que la hype allait par conséquent se charger d’en parler suffisamment sans moi. Curieusement, à mesure que mes retours perpétuels vers John & Jehn me révélaient un peu plus à ma propre addiction, je me (…)