La chronique initiale n’est pas dure.
Elle est juste...
J’écoute et c’est vraiment du grand n’importe quoi. Laborieux et fatigant pour ne pas dire chiant. De la variété yankee...
S’il existe une "américanovision", Conor est bon pour y aller, il risque d’y recueillir mieux que des "Oberst, one point". Il a même des chances de podium aux côtés d’Adams et Ritter (beau choix !).
Ceci dit, voilà qui est bien typique de l’époque. L’artiste en question est productif. Alors, il produit. Et, au fur et à mesure, il dépose ses créations dans des petits tiroirs : avec mon groupe, tout seul, en (…)