Le name-dropping est pertinent car les ressemblances sont évidentes et les comparaisons, inévitables. Sauf que dans mon chef, le côté "déjà entendu" a plutôt joué un rôle de filtre et m’a maintenu éloigné de ce disque (comme de son prédécesseur d’ailleurs, qui sonnait moins Fleet Foxes dans mon souvenir, peut-être parce qu’il n’y avait pas encore de Fleet Foxes à pomper). En dépit d’efforts soutenus pour tâcher d’y trouver du plaisir, je n’y ai trouvé que ce sentiment désagréable d’écouter d’honnêtes artisans, hélas ! un peu pathétiques face à la concurrence. Juste mon impression bien sûr, (…)