En réponse à :
22 juillet 2010, par Marc
La jument aquatique
Je l’avoue, bien souvent je me lance dans la discographie d’un artiste en n’ayant que peu d’idée de ce que je pourrai y trouver, voire même avec un souvenir tellement vague que le contenu est très éloigné de l’attente. C’est ainsi que j’ai découvert le premier album de Sixteen Horsepower en pensant y trouver de la musique gothique. Il faut lire attentivement les critiques. Même si dans ce cas précis, je suis toujours la carrière de David Eugène Edwards quinze ans après. Futés comme (...)