Pater dolorosa
Comme Bénabar découvert en même temps et qui a eu aussi à l’époque quelques articles sur ce site, j’ai sans regret laissé passer l’album précédent de Cali. Serait-ce ce titre un peu crétin qui semble sonder les limites du tweet qui m’y aurait ramené ? Impossible à dire. Toujours est-il que je l’ai écouté et que même j’ai trouvé des choses à en dire.
Aborder un album de Cali, c’est accepter certaines choses comme immuables. Il n’a peur de rien, ne semble pas calculer, et (…)