Vieux singes et vieilles marmites
Écouter les Beastie Boys en 2011 peut difficilement être associé à autre chose qu’un plaisir régressif. On n’a pas dit coupable, loin de là. Mais à l’image du clip désopilant qui a accompagné l’attente de cette sortie anachronique, c’est un parfum de nostalgie qui semble embaumer les nouvelles productions du trio new-yorkais. Et là, difficile de savoir sur quel pied danser : celui qu’on prend à retrouver les grimaces de nos vieux singes, plus aptes que (…)