Excellent concert pour ma part, même si émaillé d’un ou deux défaut technique (un baffle qui chuintait à un moment) et de la voix du chanteur qui souffrait visiblement de sa tournée (il s’agissait de leur avant-dernier concert). Mais l’énergie développée, le claviériste complètement allumé, la batterie survoltée, la profondeur des graves du saxo, la large palette des morceaux interprétés (quand même 4 ou 5 de Friends and Foe, dont les formidables versions de Wet and Rustling et Pelican, sans oublier le magnifique Rotten Hell) m’ont séduit et jamais mon attention n’est retombée.
Premier Menomena sur scène (...)