Les hirondelles reviennent au printemps et Jean-Louis Murat nous revient aussi souvent, c’est une loi de la nature qui ne semble pas souffrir du réchauffement climatique. On l’avait laissé sur un Travaux sur la N89 qui ne nous avait pas plus enflammés que ça. Mais on savait aussi qu’il ne faudrait pas attendre longtemps pour qu’on retrouve le fil d’une discographie touffue qu’on a pris un malin plaisir à disséquer (quatorze albums quand même sur ce site). La liberté étant le maitre-mot de Jean-Louis de (...)