C’est amusant, j’écoutais Canon l’autre matin et je me disais que ce groupe avait un sacré potentiel, quand le soir venu je découvris ta critique et apprenais par la même occasion que Volin avait sorti ce second album encensé. Et le moins qu’on puisse dire c’est que tu as eu le nez creux, cher Marc. Très long en bouche, ce disque m’a demandé du temps : d’ingestion, de digestion, d’approche approfondie des nombreuses saveurs qu’il renferme. Au bout du compte, je suis absolument conquis : on est au-delà de la belle ouvrage ; c’est un grand disque français et, j’ose espérer, celui d’un futur (…)