Quand on se penche sur un nouvel album de José González, on se demande combien d’épisodes on a manqué depuis le dernier et la réponse est claire : aucun. Il y a donc six ans qu’on n’a plus eu de nouvelles, comme il avait fallu 8 ans pour qu’il nous revienne avec Vestiges and Claws. On ne l’a cependant pas oublié, parce que cet art de l’arpège délicat lui rend la citation inévitable à l’écoute d’artistes comme Will Stratton ou Raoul Vignal.
On retrouve immédiatement ses spécificités par rapport à ces (...)