J’imagine que c’est un pur hasard mais cet album fleurant bon le psychédélisme des années soixante m’arrive en même temps que l’annonce du décès de Syd Barret. Car ne cherchons pas midi à quatorze heures, l’univers de Om n’est pas éloigné de celui des premiers Pink Floyd. Si je n’apprécie pas particulièrement les critiques track-by-track, la présence de seulement deux – longs – morceaux m’y oblige pour une fois.
Ainsi dès le début At Giza rappelle immanquablement A Saucerful Of Secrets de Pink Floyd. Même (...)