En réponse à :
7 juin 2006, par marc
Neil Young est énervé. Ce n’est pas une nouvelle en soi, vu que ce vétéran n’a jamais eu sa langue en poche. Mais ici, c’est Georges W. Bush qui sert de cible. Je suis tout à fait d’accord qu’il s’agit d’un enfonçage en règle de portes ouvertes, qu’à la moitié du second mandat du fils de l’autre, la constestation est plus que présente, même et surtout aux Etats-Unis. Alors qu’un rescapé de Woodstock (oui, celui de 1969, avec Cosby, Stills et Nash) s’attaque à une personne plus que contestée, (…)