Le rythme de la mélancolie
Il n’y a rien de plus délicat qu’une première écoute d’un groupe. Rien n’est plus subjectif, soumis au contexte, et n’inspire autant la méfiance. Pourtant, c’est souvent là que se cachent les plaisirs de la découverte. On n’entre pas dans toutes les discographies comme dans un moulin mais une entrée en matière engageante est toujours agréable, quitte à réviser son jugement plus tard. Tout ceci pour annoncer que la première écoute de Loney Dear m’a vraiment (…)