Bien sûr, avec Air je ne me retrouve pas sur mon terrain favori. Mais c’est parfois en se jetant sans attente spéciale sur un album qu’on a de bonnes surprises. Et ce Talkie walkie en est une. Il y avait surtout eu, pour moi, l’impeccable bande-son de Virgin suicides (il y a ici en clôture Alone in Kyoto qui figure sur celle de Lost in translation). Moon safari était un rien trop apprêté et surfait sur une vague french touch qui allait retomber.
Pour ce genre de musique éthérée, il n’y a (…)