Dans un premier temps, j’ai été déçu : Meursault, en ayant accès à un "vrai" studio (puisque c’est le cas pour la première fois) a perdu le cachet "épique-bricolo-folk" de son fabuleux album précédent. Le son s’est nourri au gré de nouveaux arrangements et accompagnements et la hargne -que certains trouvaient surfaite, mais qui me tirait presque des larmes d’émotion-, si elle ne s’est éteinte, s’est amortie. L’album est ainsi resté de côté. Mais les écoutes répétées que cela implique -les occasions où je laisse aller les listes Itunes au gré du temps ne se comptent plus dans une (…)