Bizarre, il y a des morceaux qui semblent être sortis au bon moment (ils sonnaient frais et j’avais le bon âge) et que je peux réécouter avec quasiment le même plaisir aujourd’hui. Tandis que des tracks récents ne parviennent pas à me faire le même effet précisément parce qu’ils sont anachroniques. Qu’est-ce qui est intemporel et qu’est-ce qui est conjoncturel ? Je ne me l’explique pas.
Je ne m’étendrai pas sur la démarche cathartique du présent disque, qui confère évidemment un côté touchant au projet et favorise l’adhésion, mais comme pour l’album précédent je vais garder le meilleur (…)