Merci pour le commentaire. Je préciserai d’abord que cette critique a été écrite il y a sept ans. Donc bien des albums me sont passés par les oreilles. Et celui-ci reste, comme tous leurs autres en fait. Les légions de suiveurs ne font que renforcer l’impression qu’il s’agissait d’un équilibre presque miraculeux. L’état de grâce ne devait malheureusement pas durer, puisque Morrissey, malgré un regain de forme, n’a jamais atteint ces sommets, et que Johnny Marr lutte depuis vingt ans pour avoir autant de présent que de passé.
Tu fais bien de souligner la valeur d’archétype de The Smiths, (…)