Villagers, c’est quinze ans d’intense délicatesse. Le projet presque solo de Conor O’Brien nous a depuis longtemps habitués à osciller entre une vraie délicatesse et plus d’ampleur. Celui-ci est franchement évanescent en première écoute, d’ailleurs j’étais un peu passé à côté pour être honnête. Il peut se faire plus lyrique, on le sait.
Mais même sur Truly Alone, la subtilité est là, avec son petit clavier typique. On le retrouvera au détour d’un moins excitant Brother Hen. Cette (…)