"Rococo", Voila, je cherchais le mot depuis juillet !
C’est vrai qu’en plus d’une puissance musicale et mélodique certaine, régnait à Dour une atmosphère étrange, pas malsaine, mais pas primesautière non plus... Et cette projection de mécanisme d’horlogerie synchronisé aux tambours avait des relents très lointainement "Nineinchnailesques"...(Bon, c’était pas "Happiness In Slavery" non plus hein ?)...C’est du moins le ressenti que j’en ai eu.
Dans un contexte pareil, écrire un titre dédié à deux Audiardesques ahuris proxénètes cultissimes... Fallait oser aussi...Dérision ? Choc assumé (…)