Ayant trouvé Patti Geronimo bien fade et n’ayant strictement aucune attirance pour Morrissey l’ancien, je dois bien avouer que le bilan de la journée ne fut guère flatteur à mes oreilles.
La bière n’était pas mauvaise, même si je romprais bien un régiment de lanciers pour qu’on évacue une fois pour toutes le spectacle et le son fournis par la marque de bière belgo-brésilo-canadienne. C’est d’une vulgarité confondante. A faire rougir de honte des milliers de chapeaux de cow-boy !
Mais, malheureusement, c’est bien à l’image de ces kermesses aux boudins que sont devenus les festivals. (…)