C’est toujours la même histoire. La façon dont on a découvert un artiste conditionne le regard qu’on a sur lui par la suite. Par exemple, sur la foi de l’album de Clogs et d’All Things Will Unwind, je prenais Shara Worden pour la chanteuse de garde dès qu’un artiste avait besoin d’assouvir une nostalgie du bel canto.
La modernité de cet album m’a donc logiquement paru incongrue lors des premières écoutes. Or c’est elle, alliée à la voix de Shara Worden qui fait de cet album une bien belle (…)