Mais qu’est-ce qui a pu réveiller Echo and The bunnymen ? La vague de nouveaux groupes anglais pillant sans vergogne les excellents et anciens Heaven up here et Ocean rain (The Departure, Editors) ? La volonté de montrer que l’original est supérieur à la copie ? Difficile de trancher tant cet album distille des sentiments divers et mitigés.
Car contrairement à The Cure, par exemple, la musique de Echo et de ses hommes lapins évolue inexorablement vers une pop de plus en plus légère. Non que ce soit (...)