Finalement, après près de quinze ans de critiques musicales, je connais remarquablement peu d’artistes, et les rares que je puisse saluer sont souvent rencontrées en dehors de ce hobby. Tout ça pour dire que je connais de très loin les protagonistes dans la vraie vie et que c’est assez inhabituel pour moi. La bonne nouvelle, c’est que je ne devrai pas détourner le regard ou la conversation si je les croise par hasard parce que ce qu’on entend sur le second album de la formation bruxelloise m’a plu. (...)