C’est sans doute un cliché et une facilité de dire qu’un groupe est à part mais dans le cas de Wilco on ne peut que difficilement l’éviter. Pourtant, le genre pratiqué par la fameuse formation américaine qui jouit d’ailleurs d’un moindre crédit en nos longitudes n’est pas trop mystérieux. La différence ? Une subtile supériorité dans l’écriture, une versatilité d’interprétation encore plus grande que les autres, un air de coolitude insurpassable amené par le chant presque débraillé de Jeff Tweedy.
Et il en faut (...)