Pop n’est pas un gros mot. Surtout s’il est défendu avec autant de brio que sur cet album. Pas un seul titre faiblard, de mélodies et du rythme sans l’impression d’avoir été pris pour un con, que (…)
Après le passéiste et à moitié convaincant Bloodflowers (sorte de palimpseste de Disintegration) et la liquidation du fonds de commerce via la très riche compilation Join the dots, on n’attendait (…)
Merci Monsieur Smith ! C’est la première réflexion qui vient à l’esprit à l’écoute de cette longue compilation. L’intérêt de quatre CD’s de faces b et raretés est d’ailleurs souvent mis en cause. (…)
Deux soeurs américaines à Paris. Que font-elles ? Un album. Bonne idée. On commence par une douceur qui met de bonne humeur. On retrouve Les ambiances chères à Hope Sandoval. Et puis non, c’est (…)
Il est trop rare de rencontrer des groupes qui ont créé leur propre univers pour bouder son plaisir. Si le second album (Walking with the three) avait montré de vraies dispositions, celui-ci (…)
(mise en ligne 13/13/06)
J’avoue dés le début ne pas être un fan extrême des deux premiers opus. Comme tout le monde, je les ai vus et revus par morceaux lors des nombreux passages à la (…)
Il y a plusieurs façons de lutter contre le piratage : attaquer en justice des gosses de treize ans qui téléchargent du Britney Spears (et même pas pour mauvais goût...) et puis il y a cette bonne (…)
Et un retour, un ! Finalement, il ne nous avait pas quittés il y a si longtemps que ça, mais l’indigence des derniers albums nous faisaient croire à une séance de sur-place telle (No more shall we (…)
Cake ne peut pas décevoir. Il suffit de voir ce qu’on en attend. Un chant paresseux, une guitare incisive mais pas trop, une basse funky, le mélange nous a valu de bons moments (l’indémodable (…)
C’était un jour de juin 1993. Lors d’une insomnie, j’allume machinalement la télé et sur MTV et qu’est-ce que je vois ? : La chanteuse des Sugarcubes qui se fait courser par un énome ours en (…)
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