Les chevaux galopent
Comme vous le savez ou pas, je me trouve pour le moment à Seattle par un heureux hasard de la vie professionnelle. Pour ceux que des détails plus biographiques intéressent, (…)
Calme et émouvant
Emily Haines nous avait déjà fait entrevoir le potentiel de sa voix, son talent de songwriter et son inclinaison pour les chansons tristes par le passé. Laissant tomber les (…)
Les mêmes en énervés
Il doit bien y avoir un doseur en chef, un type qui dirige les groupes en décidant des mélanges. On écoute trop de groupes trop proches sauf pour des éléments subtils pour (…)
Elle arrive certes un peu tard mais la voici : Grizzly Bear : Knife (Lp : Yellow House) Sibylle Baier : The End (Lp : Colour Green) Vincent Delerm : Marine (Lp : Les Piqûres d’Araignée) Razorlight (…)
Des reprises pour déshabiller les morceaux
Qu’est-ce qui se passe, les filles ? Qu’est-ce qui vous déprime comme ça ? Répondez-moi Jana (Hunter), Marissa (Nadler), Sibylle (Baier) ou El Perro (…)
La salle est pleine. Le DJ arrête de distiller une musique éléctro plutôt calme et Goose fait son entrée. Pas de fioritures, le groupe entame directement avec Black Gloves et donne le ton. C’est (…)
Labelnight Shitkatapult
C’est une basse lourde et oppressante éclaircie par un bruit blanc (comme neige ?) qui entame le live de Judith Juillerat. Les cheveux lisses et le visage fermé, elle (…)
C’était donc bien des Américains...
Il nous avait suffi de quelques secondes, celles de l’introduction de Jenny Was A Friend Of Mine (qui reste un de mes morceaux favoris dans l’absolu), pour (…)
Les années ’80 font de la résistance
On ne peut pas se dédoubler. C’est à cause de cette bien regrettable limitation de l’être humain actuel que j’ai raté White Movement au Pukkelpop de cette (…)
Si The Veils s’était révélé intéressant au Pukkelpop au mois d’août, il me tardait quand même de les revoir dans de bonnes conditions de public, de son et en ayant dans l’oreille l’excellent (…)
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