Bon, je vais arrêter de dire que je parle de groupes que je ne connais pas bien, vous allez vous demander ce que je fais là, à force…Donc, exceptionnellement, je ne me plaindrai pas de n’en pas (…)
La classe est toujours sobre
Evidemment, la carrière de Wire vaudrait plusieurs articles. Il y an a d’ailleurs une assez impressionnante profusion. Donc, les trois albums sortis entre 1977 et (…)
L’omelette norvégienne.
L’aspect cyclique de la critique musicale ne saute pas tout de suite aux yeux. Puis, après presque cinq ans de pratique, on peut anticiper des retours. Si pas de sorties (…)
La puissance de la légende
Autant l’avouer tout de suite, j’ai un peu hésité avant d’acquérir un billet pour ce concert de Wire. C’est qu’après avoir été époustouflé par leurs trois premiers (…)
The Fall of Smith
The Fall, c’est avant tout un personnage : Mark E Smith. Et puis pour référence, c’est aussi un des groupes préférés de Mr John Peel himself. Pour ma part, j’ai découvert ce (…)
Voyages immobiles
Big Blue Ball c’est avant tout un projet. Un projet vieux de près de 18 ans qui est le résultat de 3 semaines de rencontres et de création dans le "Real world Studio" de Peter (…)
Punk tropical. Sisi
La vie d’un groupe qui se lance de nos jours ne doit pas être facile. Plusieurs problèmes se poseraient. Tout d’abord le genre pratiqué est libre, et toutes les boutures ou (…)
La mélancolie des fanfares
Il va falloir que j’arrête cette mauvaise habitude de débouler en retard dans des discographies essentielles. Enfin, à moins d’étirer mes journées ou revenir dans le (…)
The Stage Names, seconde
Parfois il est utile de souligner les bonnes idées d’un groupe. Ainsi, un an après un tout bon The Stage Names, revoici The Stand-ins, qui en est la suite ainsi que le (…)
Chronique d’une amnésie annoncée
Comme tout passe vite. C’est par un gout suraigu du lieu commun que je commence cette chronique mais il faut bien dire que la vitesse à laquelle le souvenir (…)
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