Il y a quelque chose de touchant finalement dans ce premier album éponyme de Kill the Young. Cette façon de proposer un rock épique trop légèrement suranné pour être vintage. En effet, c’est sans (…)
Urgence, sueur, peur. Loin des fioritures, des orchestrations flamboyantes. Bon, autant dire tout de suite à qui on pense tout au long de l’écoute : PJ Harvey. Plus dans l’esprit râpeux, charnel (…)
C’était il y a onze ans. Katherine sortait un album intitulé L’éducation anglaise. On le voyait en pull moulant style Le prisonnier et la musique était kitsch easy-listening comme beaucoup de (…)
Un acteur, une actrice peut se permettre la légèreté, parce qu’on n’exige pas l’univers singulier, la découverte et l’originalité. De toute façon, l’attention est attirée par la notoriété de (…)
C’est toujours avec circonspection qu’on se plonge dans un premier album qui est précédé d’une hype insulaire. La pop en Angleterre revient souvent à l’accommodation de vieux restes de références (…)
Parfois la critique fuse, presque dès la première écoute. Parfois il faut plusieurs écoutes et l’avis enfin se forme. Enfin il arrive qu’une critique s’écrive à la vitesse d’une ligne par semaine. (…)
Du rock progressif. Déjà on s’étonne. Instrumental. Là, on panique. Et on a tort. Car rien ne vaut l’absence de voix pour installer des climats, vu que l’enjeu du couplet-refrain-bridge n’a plus (…)
Il faut se rendre à l’évidence après des écoutes répétées : cet album de Gravenhurst est d’une isondable beauté.
Tout commençait comme le meilleur des Tortoise (TNT). Rien ne laissait donc (…)
Première surprise, un nouvel album alors que le premier avait tout l’air d’une récréation d’oisifs Gallois. Mais vu les nouveaux titres proposés en concert au Pukkelpop, on pouvait se douter que (…)
Voilà, le Pukkelpop vient de fermer ces portes il y a seulement quelques heures et les vidéos des concerts commencent déjà à fleurir sur le net.
en voici un petit florilège de ce qui est déjà (…)
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