Plaisirs simples
Un jour, comme ça, sur je ne sais plus quel conseil, j’ai emprunté le second album des Tindersticks, dénué de titre comme son prédécesseur. Un peu machinalement, je glisse le (…)
Un des nombreux rejetons du soleil
S’il est bien un label qui a habilement su se reconvertir après la gloire, c’est bien Sub Pop de Seattle. Certes, il ne leur fut pas facile de survivre au (…)
Elle ne perd pas le fil (gag drôle)
Après un premier album qui n’a pas eu un écho gigantesque,Le Fil a bénéficié d’un succès critique et public qui en a fait une sorte de Björk française, par (…)
Un chainon manquant
De la musique tribale et psychédélique, on en a eu notre dose ces derniers mois. Heureusement souvent pour le meilleur car la folie sonore n’autorise pas la médiocrité sous (…)
je ne suis pas vieux
La sortie d’un album de dEUS consistue pour beaucoup un événement en soi, venant troubler la mare des sorties annuelles. Véritable pilier d’un son pur belge, directement (…)
Un récit de la première édition
Ca n’était pas l’évènement médiatique de ce printemps, mais les organisateurs de l’impeccable Pukkelpop se fendaient d’un échauffement appelé Polsslag. (…)
Je hais les couples (air connu)
Ce n’est même pas par esprit de contradiction que j’ai différé ma rencontre avec la musique des Long Blondes. C’est que je me trouvais sur un territoire où le (…)
L’abondance de biens ne nuit pas
Le hobby de la critique musicale est un peu une application au quotidien du mythe de Sisyphe. Une fois qu’on pense avoir cerné ses goûts, qu’on pense que la (…)
Heureuse déception
C’est classique : on veut retrouver dans un nouvel album d’un groupe qui nous plait les ingrédients qui vont nous permettre de l’aimer à nouveau. Mais dans ce cas-ci, c’est (…)
Etat stationnaire
Pour une critique d’un album de Clinic, deux cas de figure se présentent : soit vous connaissez déjà un album soit non. Dans le premier cas, on peut être assez expéditif en (…)
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