Quand un Français qui fait de la musique electro teintée de rock, c’est souvent vers des ambiances positives qu’il se tourne. On pense à Tahiti 80 ou Phoenix. L’idée ici est au contraire est de (…)
En son temps, je vous avais dit la méfiance que m’inspirait Coco Rosie avec La maison de mon rêve. Elles n’ont pas changé et moi non plus. Partant de là, que faut-il penser de ce second album ? (…)
Donner une suite à Femme X, le premier opus, permettrait de vérifier les promesses. Vu que ce premier album avait plu, par la combinaison de surgissements au milieu de titres aux sujets intimes, (…)
Non, le formatage du retour des années ’80 n’est pas une fatalité. Malgré un fort joli nom évoquant la futilité (réjouissant et cornichon), Clap your hands say yeah m’a enchanté. Et il va vous (…)
La carrière des Chemical Brothers est exemplaire. Non contents de durer plus que raison dans la musique électronique (à part Underworld, qui peut prétendre à une telle longévité ? pas Prodigy ni (…)
Après un retour studio qui annonçait un retour en forme, voilà un triple CD regroupant tout ce qu’il existe en raretés, faces B et autres inédits. Cet exercice réclame une certaine carrière (…)
Dans une émission radio désormais disparue, il y avait une séquence qui s’intitulait ’La musique que j’ai honte d’écouter’. Si j’avais participé à cette émission, nul doute que Les Cardigans y (…)
Le pire pour une critique est de tomber sur un album pour lequel les références sont introuvables et qui n’inspire aucun sentiment tranché.
C’est donc le cas ici. L’univers de Camille évoque (…)
On se demande comment on a pu faire avant, tant il n’y a pas vraiment d’équivalent. En effet, Cali réussit la gageure de rassembler le grand public sans écorner son image auprès des personnes plus (…)
Encore un album qui me laisse perplexe. Donc encore une critique commencée il y a bien longtemps. En dépit d’indéniables réussites (Arc of a journey), je dois avouer que les comptines minimalistes (…)
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