La référence est une reprise de citation mais à le mérite de la clarté : C’est comme si les Beach boys reprenaient du Wire. Que risque de donner un mélange d’un de mes groupes favoris et du groupe (…)
On avait aimé le premier album, comportant un désormais classique des dancefloors, des morceaux apaisés et un superbe crescendo. Leurs copains de Scissors sisters ayant cartonné et remis New-York (…)
Des ingénieurs qui font de la musique ? La belle affaire, j’en connais déjà un petit paquet. Ce qui fascine immédiatement, c’est la capacité de retenue de ces gens (d’où le nom ?). En effet, on se (…)
C’est une tendance lourde des DJ’s célèbres proposant des albums : au lieu de systématiquement rechercher la bombe de dancefloor, ils explorent des paysages plus variés. C’est le cas de Laurent (…)
L’écoute de l’album précédent ne m’encourageait pas vraiment. Un rock gras sauvé ça et là par des moments de grâce synthétiques mais trop rares pour convaincre. Et puis vint cette reprise de (…)
Il y a de multiples façons de découvrir des albums. L’une d’elles consiste à aller regarder de l’autre côté de la manche pour voir ce qui plaît au NME (hebdomadaire alternatif à sensations, sisi). (…)
Comme dans le film d’Hitchcock, les corbeaux attaquent. Après les offensives new-Yorkaises de The Bravery et Interpol, voici la réplique anglaise. Pour quelqu’un qui a moyennement apprécié les (…)
Mais qu’est-ce qui a pu réveiller Echo and The bunnymen ? La vague de nouveaux groupes anglais pillant sans vergogne les excellents et anciens Heaven up here et Ocean rain (The Departure, Editors) (…)
Pour les impatients : c’est un excellent album, allez-y les yeux fermés. Pour ceux qui sont encore là, on va en causer un peu.
Après la fureur de Worst case scenario et les expérimentations pas (…)
On a tous une histoire avec Depeche mode. Toute une génération a pu suivre son évolution, partant de niaiseries sans nom (non, je ne cafterai pas) à la reconnaissance planétaire grâce à (…)
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