Pas la peine de regarder la pochette pour voir s’il agit d’une ressortie d’un groupe des années septante. Non, le blues rock avec des vrais morceaux de funk dedans est bien de 2005.
Le Free (…)
Les bons albums commencent souvent bien. Ce n’est pas le cas pour celui-ci, qui sert de terrain de jeu au responsable du label DFA (The Rapture). Passez le trop convenu Daft punk is playing at my (…)
Vous ai-je parlé du retour des années ’80 ? Je suis si distrait de ces temps-ci.
Cette fois, c’est le versant new wave à tendance froide avec des voix féminines éthérées qui nous est proposé. Un (…)
Il y a quelque chose de touchant finalement dans ce premier album éponyme de Kill the Young. Cette façon de proposer un rock épique trop légèrement suranné pour être vintage. En effet, c’est sans (…)
Urgence, sueur, peur. Loin des fioritures, des orchestrations flamboyantes. Bon, autant dire tout de suite à qui on pense tout au long de l’écoute : PJ Harvey. Plus dans l’esprit râpeux, charnel (…)
C’était il y a onze ans. Katherine sortait un album intitulé L’éducation anglaise. On le voyait en pull moulant style Le prisonnier et la musique était kitsch easy-listening comme beaucoup de (…)
Un acteur, une actrice peut se permettre la légèreté, parce qu’on n’exige pas l’univers singulier, la découverte et l’originalité. De toute façon, l’attention est attirée par la notoriété de (…)
C’est toujours avec circonspection qu’on se plonge dans un premier album qui est précédé d’une hype insulaire. La pop en Angleterre revient souvent à l’accommodation de vieux restes de références (…)
Parfois la critique fuse, presque dès la première écoute. Parfois il faut plusieurs écoutes et l’avis enfin se forme. Enfin il arrive qu’une critique s’écrive à la vitesse d’une ligne par semaine. (…)
Du rock progressif. Déjà on s’étonne. Instrumental. Là, on panique. Et on a tort. Car rien ne vaut l’absence de voix pour installer des climats, vu que l’enjeu du couplet-refrain-bridge n’a plus (…)
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