100. J’en suis à ma centième critique d’album de 2005. Ca fait peur, un peu. Ca réjouit, beaucoup. Ca donne l’impression d’avoir brassé beaucoup de vent, énormément. Alors, si vous le voulez bien (…)
Vu les critiques élogieuses glanées ça et là, je ne suis pas le premier à sombrer corps et âmes dans ce Funeral. A force de chercher des raisons personnelles à mon attachement à cette découverte, (…)
Quand on prend de face un album comme Funeral, on se demande ce qui nous arrive, ce qui a précédé, ce qu’on a perdu en route comme épisode. Flairant la bonne affaire à propos de la légitime (…)
Il faut s’y faire : pour les gens de mon âge qui entendent un morceau de rock en français avec des paroles ’concernées’, c’est Noir désir qui restera la référence. On se dit qu’on a encore avoir (…)
Il est probable que David Eugène Edwards sera à jamais à l’abri de la médiocrité, que ce soit avec 16 horsepower ou Woven hand. Ce qu’on pensait être une récréation (voir le premier album) prend (…)
Quand ça commence par du piano aussi nettement sous mixé et intimiste, on craint le mauvais délire neurasthénique. Mais quand le riff de At least that’s what you said déboule et dégénère en pièce (…)
On met le disque dans la platine et on se demande où on a déjà entendu ça. Chez les Smiths ? Echo and the Bunnymen (le premier titre est mélodiquement très proche du groupe de Ian Mac Culloch) ?. (…)
On a tous été plus jeunes, on a tous connus U2, qu’on l’ait subi, ou qu’on l’ait vraiment apprécié (c’est mon cas). Certains on adoré la profusion de faces b parfois formidables, certains on juste (…)
Il n’est pas rare qu’une pochette évoque la musique contenue dans le CD. Ici, on a un arc tendu sur un fond flou et intriguant. Encore un groupe inclassable. Evidemment, le rapprochement avec la (…)
Sébastien Tellier. Français. Première constatation, les titres sur la pochette sont en anglais. Hop, on écoute le premier morceau et on se dit qu’on n’a plus rien entendu de pareil depuis les (…)
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